La fin de vie, c'est tellement plus que la mort

Pourquoi avons-nous si peur de mourir, alors que des milliards de personnes l'ont déjà fait avant nous ? Que peut-on faire contre la peur de la souffrance ? Peut-on se préparer à la fin de vie ? Si oui, comment ? De quelles sources d'énergie dispose-t-on pour faire face aux nombreux défis ? Qu'est-ce qui est " normal " dans la mort, mais aussi dans le deuil, et pourquoi devrait-on assister à des funérailles ? C'est ces questions et d'autres que Sibylle Felber et Steffen Eychmüller abordent dans leur livre " Das Lebensende und ich " (La fin de vie et moi). Ils veulent inciter à se pencher sur la fin de vie et la finitude, car il y a peu à perdre, mais beaucoup à gagner.

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" Si nous contribuons un peu à ce que nous ayons tous moins peur de la fin de vie et plus de sérénité face à notre finitude – alors l'objectif du livre sera atteint. "

Steffen Eychmüller, professeur de médecine palliative à l’Université de Berne, et Sibylle Felber, chercheuse en communication